Se libérer du stress émotionnel facilement ?

De part mon activité, j’entends souvent le même genre de phrase :
J’ai telle maladie depuis des années, les médecins ne savent pas me dire d’où ça vient et de toute façon ça ne se guérit pas.

A croire que les choses viennent comme ça d’un seul coup comme par magie.

Ce n’est que mon avis, mais ce discours me parait un peu léger.

Cette manière de penser est compréhensible si vous voyez la maladie comme un manque de chance. Mais si vous vous ouvrez à l’idée que la maladie soit un message du corps alors l’approche est complètement différente.

Lorsque notre organisme nous informe d’un déséquilibre, il faut toujours en rechercher la cause. Dans 80 % des cas  il s’agit d’une cause interne et dans 20 % d’une cause externe. Même si un accident par exemple n’arrive pas par hasard.

Pour la naturopathie, la cause originelle de toute maladie est la toxémie. C’est lorsque le nombre de toxines dépasse la capacité d’élimination de l’organisme. Je simplifie évidemment…

Il suffirait donc de limiter le nombre de toxines qui entrent et favoriser l’élimination de l’autre côté pour régler le problème.

C’est une cure de détox.

Mais s’il y a toxémie c’est peut être parce qu’il y a une raison. Alimentation, hygiène de vie, respiration, environnement pollué, sédentarité, stress…

De part ma pratique, je me suis aperçu, que quelque soit le motif de consultation en iridologie, perte de poids, problème digestif, problème de sommeil… la cause originelle est émotionnelle.

Grâce à l’iridologie, je peux voir l’émotion qui c’est bloquée et à quel endroit, ce qui oriente considérablement les conseils adaptés.

C’est une première étape, chaque émotion a sa propre vibration, le fait de savoir de quelle émotion il s’agit il sera possible d’agir sur sa vibration, avec des fleurs de Bach par exemple.

Mais l’émotion, lorsque qu’elle arrive, provoque un stress pour l’individu. Devant ce stress, 3 possibilités s’offrent à lui :

faire face, la fuite, l’inhibition. Que ce soit faire face ou la fuite, il y a toujours action et l’impact est amoindrit voir même il s’efface.

Pour l’inhibition c’est un autre problème. L’impact est tellement fort, qu’il contracte le péricarde, le plexus solaire et le diaphragme.

Ne travailler que sur la vibration de l’émotion, ne sera pas suffisant, il faut débloquer, libérer le péricarde, le plexus solaire et le diaphragme.

Nous savons aujourd’hui l’impact de ce blocage sur le comportement.

La personne n’arrive pas à prendre sa place dans la vie, à se mettre en valeur, ne sait pas agir, pas décider, ne sait pas dire non. Elle manque de combativité, à tendance à abandonner les projets, a peu d’instinct de révolte, est soumise aux ordres et aux désirs des autres. Dans les situations difficiles, elle se sent mal à l’aise, ce qui provoque de l’agitation, de la nervosité, et très souvent de mauvaises décisions. Elle voit partout des obstacles s’opposant à la réalisation de ses projets.

Et au niveau physiologique :

– Le système musculo-squelettique avec des douleurs précordiales, sternales, intercostale, dorsales, cervicales etc. Le péricarde est lié aux vertèbres par des ligaments, si celui-ci se rétracte, il provoque un tiraillement de ces ligaments, générant ainsi des lésions ostéopathiques vertébrales. Le péricarde est aussi lié au diaphragme, si celui-ci se rétracte, il provoque un tiraillement sur le diaphragme, tirant sur le bassin en générant une torsion. Le péricarde est tout aussi lié par un ligament à la base du crâne, si celui-ci se rétracte il tire sur la base du crâne, provoquant maux de tête, migraines, troubles visuels, convulsions, troubles du sommeil etc. Enfin, la rétraction du péricarde peut aussi entraîner des problèmes posturaux (cyphoses, scolioses, lordoses…).

– Le système hormonal avec l’hyperthyroïdie, hypothyroïdie, trouble de la croissance, trouble sexuel… car le péricarde est directement relié à la thyroïde, et à l’hypophyse.

– Le système cardiovasculaire avec la péricardite. Frottement du cœur contre le péricarde, entraînant une inflammation, une irritation des tissus et un épanchement péricardique. Si le péricarde se rétracte il peut aussi générer : arythmie, tachycardie, jambes lourdes, troubles circulatoires des membres inférieurs, extrasystole, problèmes de valves et souffles au cœur, dilatation aortique, hypertension artérielle, œdème des bras, fatigues, troubles sexuels, rupture d’anévrisme…

– Le système lymphatique. Lorsque le péricarde coince au niveau supérieur du sternum, la lymphe stagne dans les ganglions les faisant enfler.

– Le système neurologique avec des névralgies faciales, une névralgie du trijumeau, l’hémiplégie, une paresthésie, des vertiges, des convulsions épileptiques etc.

– Le système comportemental avec une crise de panique, une dépression, une angoisse, un pessimisme, une anxiété, un désir de mort, une agressivité, perte de connaissance et chute etc.

– Le système respiratoire. Le nerf phrénique est collé de chaque côté du péricarde ayant pour résultat possible : une toux sèche, de l’asthme, la dyspnée, de la difficulté à l’inspiration, soupir, douleur aiguë dans le flanc lors de l’inspiration, apnées…

– Le système digestif avec la gastrite, une lourdeur, le ventre gonflé (cela me reste sur l’estomac), dysphagie, pseudo hernie hiatal, reflux acide, œsophagite, sensation de boule dans la gorge… cela arrive quand le péricarde est retourné avec sa partie inférieure serrée en arrière, comprimant l’œsophage.

– Le système ostéopathique crânien avec des migraines, des céphalées, des migraines ophtalmiques, des troubles d’occlusions.

– Le système ostéopathique vertébral avec des douleurs lombaires, cervicales et dorsales. Si le problème est sur la première cote alors : syndrome du canal carpien, douleur du poignet, torticolis cervicalgies, douleurs cervicaux-dorsales, toux sèche irritative, paresthésies des mains et des pieds, œdème du membre supérieur, congestion de la glande mammaire, névralgie du membre supérieur, migraines, vertiges, acouphènes, troubles visuels, névralgie du trijumeau, épicondylite, tremblements, sinusite, trouble du plexus solaire.

– Le système nerveux neuro-végétatif, autonome, sympathique et parasympathique.
– Le système hématologique avec des problèmes de plaquettes, d’anémie etc.
– Le système du sommeil avec un sommeil altéré, des insomnies, des cauchemars etc.
– Le système immunitaire via le thymus.
– Le système visuel et auditif

Et pourtant, une technique simple permet de débloquer
tout ça en quelques séances seulement.

Je me suis formé à cette technique de déblocage du diaphragme, du plexus solaire, du péricarde et ventre noué et je suis heureux de pouvoir le proposer à toutes personnes désireuses d’aller mieux et de prendre sa vie en main.

Thierry

Comment vous sentez-vous ?

Etre sur le chemin du bonheur et de la santé, apparaît pour la plupart des gens comme une chose difficile à réaliser. Pourtant ce n’est pas le cas.

La première chose est  de bien  comprendre que ce n’est pas parce que nous ne ressentons aucun symptôme que notre corps n’a aucun problème.
Je ne cherche pas à faire peur, loin de moi cette idée et même, à l’inverse je vais vous expliquer que ‘le problème’ n’en n’est pas un et que la solution est encore plus simple.

De quel problème s’agit-il ? Celui qui est à l’origine de tous les déséquilibres qui amènent aux maladies, la toxémie.

Définition : la toxémie est une constante endogène dans le sang, produit naturellement par le corps (ce n’est donc pas un problème). Elle devient toxique quand son accumulation dépasse le seuil de tolérance (là ça devient un problème).

Comment savoir si mon seuil de tolérance est atteint ?

Il suffit de s’observer pendant quelques jours, et le meilleur moment pour le faire c’est le matin au réveil.

Que faut-il observer ?

D’abord le visage, si vous avez les traits tirés, le teint incolore, les yeux ternes et chargés de déchets (yeux qui collent, petites crottes des yeux), la langue chargée et une haleine amère.

Observer votre peau, si elle est terne, boutons, acnés, verrues

Observer ensuite les sensations, si vous êtes fatigué, vous vous sentez lourd alors vous pouvez en conclure que la nuit et votre sommeil ne suffit plus à résorber cette toxémie.

Ajouter à cela, trouble du sommeil, points douloureux dans le dos ou à divers endroits.

Pour les femmes si règles douloureuses, laborieuses.

CONCLUSION : votre seuil de tolérance arrive à son terme.

Inutile de prendre tout un tas de choses pour vous redonner du peps (caféine, théine, coca, médocs etc..) vous ne ferez qu’alourdir le travail de votre organisme.

Nous avons toujours toutes les bonnes excuses pour ne pas agir et ce qui est paradoxal, c’est que vous allez agir mais à l’inverse de ce qu’il faut faire.

Bon alors, qu’est-ce qu’il faut faire ?

et bien au risque de surprendre voir de choquer : RIEN

Votre organisme est surchargé donc ajouter autre chose serait illogique.

1 / du repos
2 / jeûner. Je vous parle d’un jeûne facile à faire et très efficace.

Le soir faite un dîner léger (végétarien) et assez tôt, le matin oubliez le petit déjeuner et faite un repas équilibrer le midi.

Votre jeûne comme 6 heures après votre dîner, disons que vous dînez à 19h le jeûne commence à 1 h du matin. Il va durer jusqu’à 13h donc vous aurez jeûné 12 heures.

Résultat du jeûne court : le tube digestif est au repos. Accrochez vous voilà tout ce qui ce passe quand on ne “fait rien”

Les muqueuses digestives peuvent ainsi se réparer, l’estomac reconstruit ses parois et ses glandes se nettoient. Les cellules du pancréas préposées à la fabrication d’insuline et celles des autres glandes digestives sont également au repos. Le foie élimine les graisses de même que les calculs et les déchets qui l’engorgent et perd jusqu’à 50% de son volume en cas de jeûne plus prolongé. Le repos de tube digestif permet aussi à l’intestin de se régénérer et celui-ci équilibre sa flore bactérienne après avoir éliminé les déchets qui la perturbaient ; les diverticules se vident et se rétractent. Les occlusions se détendent et finissent par disparaître ; la paresse intestinale se corrige. Le nettoyage de la membrane intestinale amène une meilleure assimilation des nutriments vers le sang. En cessant d’ingérer de la nourriture même pendant quelques heures, notre corps est soulagé d’un important front d’invasion de toxines : les produits chimiques de l’industrie alimentaire, l’alcool et les déchets de la fermentation digestive n’envahissent plus le corps quand il est à jeûn. Au lieu de s’affairer à la neutralisation de ces toxines, l’organisme peut s’attaquer tranquillement à la chasse aux déchets déjà emmagasinés dans les tissus ou se consacrer à d’autres tâches, telle la lutte contre les maladies.

Observez vous, reposez vous et portez vous bien,

Thierry